Fraternité Franciscaine Séculière

Fraternité Franciscaine Séculière
La Fraternité Franciscaine Séculière
accueille ceux qui souhaitent vivre l’Evangile selon l’Esprit de Saint François d’Assise.
Le fondateur
François d’Assise (en italien Francesco d’Assisi), né Giovanni di Pietro Bernardone à Assise (Italie) en 1181 ou 11821 et mort le 3 octobre 1226, est un religieux catholique italien, diacre et fondateur de l’ordre des frères mineurs (OFM, communément appelé Ordre franciscain) caractérisé par une sequela Christi dans la prière, la joie, la pauvreté, l’évangélisation et l’amour de la Création divine. Il est canonisé dès 1228 par le pape Grégoire IX et commémoré le 4 octobre dans le calendrier liturgique catholique.
Saint François d’Assise est considéré comme le précurseur du dialogue interreligieux. C’est la raison pour laquelle sa ville natale a été choisie par Jean-Paul II comme siège de la journée mondiale de prière en 1986. Cette journée a été suivie d’autres journées de prière connues sous le nom de rencontres d’Assise.

La Fraternité Franciscaine Séculière est internationale.
En France, elle comprend environ 3.000 membres et sympathisants répartis dans plus de 300 fraternités locales de base dispersées dans tout l’Hexagone et dans les Antilles.
Elle est responsable de la Jeunesse Franciscaine (JFra) qui accueille des jeunes de 17 à 30 ans en recherche vocationnelle. Rencontres mensuelles en petits groupes pour :
– Un temps de prière
– Un partage de vie
– Un temps de formation
– L’accompagnement spirituel de toute fraternité est assuré par un religieux, une sœur ou un laïc spécialement formé à cette mission
Prière
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix.
Là où est la haine, que je mette l’amour
Là où est l’offense, que je mette le pardon
Là où est la discorde, que je mette l’union
Là où est l’erreur, que je mette la vérité
Là où est le doute, que je mette la foi
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant
à être consolé qu’à consoler
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant que l’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve soit même,
c’est en pardonnant que l’on obtient le pardon,
c’est en mourant que l’on ressuscite à la Vie.
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